La petite bête humaine

Il paraît qu’un redoutable virus circule actuellement dans l’air de « notre » planète bleue.
Il paraît qu’il est terrible.
C’est en tout cas ce qui est dit.
C’est en tout cas ce qui semble être le cas quand on voit ces milliards de visages soudainement masqués qui laissent toutefois apparaître des regards pleins de peurs et parfois de jugement.

Mais il y a un virus bien plus terrible qui lui, fait bien plus de dégâts sur la planète qui nous abrite.
Et ce, depuis des millénaires. Et ça s’accélère « ces derniers temps ».
Mais de lui, on ne parle pas.
De lui on ne parle jamais.

Ce virus n’agit que chez les humains mais indirectement, il affecte tous ceux qui s’approchent de ces humains : animaux, plantes, rivières, air, terre…

Il fait qu’on croit qu’il est plus important de posséder et de contrôler que d’accepter et aimer.
Il fait qu’on a plus peur de la mort qu’on aime la vie.
Il crée la séparation quand on n’est « pas d’accord », et il crée la dépendance quand on croit qu’on ne peut pas faire autrement.
Il fabrique des enfants qui ont peur, qui souffrent intérieurement, et qui ne voient comme seuls échappatoires que la fuite, la consommation, les écrans ou la colère.

Il a créé tous les empires, tous les totalitarismes.
Il a crée les sacrifices, les exterminations, les camps de concentrations, les goulags, les purges, les chasses aux sorcières et aux hérétiques..

Par son besoin de contrôle, il a fait se soumettre par la force de la contrainte les animaux et les plantes, puis les femmes et les enfants.
Par son besoin de trouver des coupables, il a exclu et exécuté les riches mais plus souvent les pauvres. Les bourgeois ou les paysans. Les nobles ou les curés.
Par son besoin d’identification, il a créé les idéologies, les nationalismes. Ce qui crée l’exclusion et la haine de l’autre.
Par son besoin de tout expliquer, il fait croire qu’il existe quelque part une équation qui règlera tous les problèmes du monde. Problèmes qu’il a lui-même créé !
Par son besoin de chercher le bonheur ailleurs qu’en « soi », il fait croire que le meilleur est à venir, il rend les humains hyper-consommateurs, absents à eux-mêmes, vivant continuellement entre espoir et désespoir.

Ce virus tue les corps par dizaines de millions chaque année. Mais surtout il étouffe l’esprit. Il est à l’origine de la souffrance de l’Homme.
Mais on ne parle pas de lui.
Pace que « c’est comme ça ». « C’est normal. » Par ce qu’on ne peut pas le voir au microscope.
Mais surtout parce qu’il habite les esprits.

Ce virus, on peut l’appeler l’égo.
Mais son nom n’a pas d’importance.

Pour y échapper…
Pas besoin de le combattre.
Pas besoin de masque.
Pas besoin de vaccin.
Pas besoin de qui que ce soit.
Pas besoin de chercher des coupables.

Ce serait jouer son jeu.

Pour y échapper…
C’est simple.
Il suffit de le reconnaître.
Il suffit de vivre les choses telles qu’elles sont et non telles qu’on les croit, ou telles qu’on les interprète.
Il suffit de s’écouter et de ne plus écouter celles et ceux « qui ont la parole ». Il suffit de ne plus croire les histoires.
Il suffit de quitter la peur.



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